Serie : Grands navigateurs solitaires. Vol 1
Collection(s) : Mer libre
Paru le 20/11/2004 | Broché 240 pages
Tout public
Dans «Les Grands navigateurs en solitaire», paru en 1989, Benjamin Lambert avait retracé avec passion, en écrivain et en marin, les trajets de ces navigateurs dont certains sont devenus ses amis. L'ouvrage avait reçu une distinction de l'Académie de Marine. C'était le livre de référence sur les plus significatifs parmi les aventuriers de l'océan et de la solitude, leurs parcours d'hommes et de marins, leurs rêves, leurs exploits et leurs bateaux... de Slocum, Blackburn ou Bombard à Gerbault, Bardiaux, Moitessier ou Chichester, Tabarly, Colas et autres depuis 1850, précurseurs, aventuriers ou coureurs d'océans.
Le voici dans une nouvelle configuration, orientée vers l'aspect historique.
«Grands navigateurs solitaires» Volume 1, sous-titré «L'Epoque héroïque», présente les précurseurs (Slocum, Blackburn... Bombard) jusqu'à Bernard Moitessier, marin et homme d'exception, symbolique de cette activité (encore rare à l'époque) : naviguer seul à la poursuite de l'horizon et de ses rêves. (Complété d'une bibliographie et d'un glossaire.)
Le Volume 2, à paraître prochainement, sera sous-titré «L'Aventure en solo». Il présentera les premiers "coureurs d'océans" (Chichester, Tabarly... Jeantot, Lamazou, Florence Arthaud) et quelques aventuriers de l'impossible.
Plus tard, un troisième volume abordera l'époque récente où la compétition et l'emprise publicitaire ont conquis tout ce qui désormais porte l'étiquette "navigation en solitaire".
Benjamin Lambert, né en 1945, universitaire, écrivain, scénariste, éditeur, partage ses activités d'écriture entre les livres documentaires sur la mer et la navigation et les ouvrages littéraires (romans ou essais).
Parmi la dizaine d'ouvrages publiés chez divers éditeurs, deux essais significatifs : "La Cavale, Mémoire d'Albertine" (un regard original sur la trilogie romanesque d'Albertine Sarrazin), chez Nizet, et "Défense d'interdire" (un essai historique et analytique sur Mai 68, trente ans après), chez Méréal.
