Groupes cathédraux et complexes monastiques : le phénomène de la pluralité des sanctuaires à l'époque carolingienne

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 117 pages
Poids : 532 g
Dimensions : 22cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7535-4259-4
EAN : 9782753542594

Groupes cathédraux et complexes monastiques

le phénomène de la pluralité des sanctuaires à l'époque carolingienne

chez Presses universitaires de Rennes

Collection(s) : Archéologie et culture

Paru le | Broché 117 pages

Public motivé

16.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Groupes cathédraux et complexes monastiques

L'ensemble de la communauté scientifique s'accorde à reconnaître en la période carolingienne des temps féconds et prospères. Pour cela, il suffit de constater le nombre de monastères et de cathédrales érigés ou reconstruits sous les règnes de Charlemagne et de Louis le Pieux et qui ont donné lieu à de riches études archéologiques, architecturales, liturgiques, etc. Pourtant, il est une question qui mérite encore une attention particulière : le phénomène de la pluralité des sanctuaires au sein des groupes cathédraux et des complexes monastiques.

Les auteurs ont été amenés à s'interroger sur les origines de cette configuration architecturale et liturgique. Quelle part de nouveautés fut apportée à l'époque carolingienne ? Qu'en est-il des emprunts aux productions mérovingiennes voire paléochrétiennes ? L'essentiel des discussions a été orienté vers le rapport entre architecture, fonctionnalité et liturgie. Ainsi, il a été possible de préciser les motivations qui ont poussé les concepteurs à entreprendre la construction de tels complexes. Si le champ d'étude a été resserré autour de la période carolingienne, les exemples convoqués ont été le reflet de la large diffusion géographique de ce modèle architectural. Enfin, cette table ronde a également été l'occasion de constater et de discuter la remarquable diversité formelle de cette notion de pluralité de sanctuaires.

Biographie

Marie-Laure Pain est en cinquième année de doctorat d'histoire de l'art et archéologie à l'école doctorale de Paris-Ouest Nanterre « Milieux, cultures et sociétés du passé et du présent » sous la direction de Jean-Pierre Caillet. Le titre de sa thèse est : « L'architecture monastique à l'époque de Charlemagne ». Elle a été boursière et associée au groupe de recherche « Charlemagne » à l'Institut historique allemand de Paris de 2011 à 2014. Depuis, elle en demeure chercheuse invitée.