Paru le 16/01/2012 | Broché 146 pages
Tout public
Parler d'Alzheimer, est-ce l'appréhender en tant que pathologie neurodégénérative, perte d'autonomie et pénibilité pour le malade, son entourage ? Est-ce avoir l'appréhension des troubles de la mémoire, l'extension aux moins âgés et l'incurabilité, le traitement retardant si peu une dégénérescence au pronostic de vie de près de dix ans ? Se limiter à ces aspects, c'est appréhender la maladie en fatalité, négligeant l'essentiel : le droit au bien-être !
Refusant telle appréhension, l'essai cultive le meilleur des sentiments, se fondant sur une expérience d'initiatives basées sur le senti du malade et de son entourage.
Avec une juste intelligence du mal, par la pratique éprouvée d'une science de l'amour, guérir rime avec souffrir le moins sinon point !
Farhat Othman est tunisien, juriste, docteur de 3e cycle en Sciences politiques et diplomate, écarté abusivement de la profession avant la Révolution du 14 janvier. Sa liberté retrouvée, il l'a investie dans l'accompagnement, en famille, de sa mère atteinte d'Alzheimer, développant la thérapie des sentiments exposée ici. Français de coeur, il est installé à Paris depuis près de trente ans, se consacrant à la recherche sur les réalités des liens entre Orient et Occident.