Paru le 21/06/2006 | Broché 44 pages
Si j'arrache le pavé qui te sert de prison
Je pourrai voir peut-être la magie émerger
Et pourfendre enfin le corps glacial
De la putain pétrifiée -
Peu importe le flacon tant qu'il y a l'ivresse
Peu importe la tour tant qu'il y a de l'or
Au cheval et à la langue de bois
Je préfère la gueule foudroyée
Des lendemain de fête
Et le souvenir des femmes
Dont on a déjà oublié le nom -