Hélène ou La solitude

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 549 pages
Poids : 353 g
Dimensions : 12cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-491372-16-3
EAN : 9782491372163

Hélène ou La solitude

de

chez Editions de la Belle Etoile

Collection(s) : Découverte

Paru le | Broché 549 pages

15.50 Disponible - Expédié sous 11 jours ouvrés
Ajouter au panier

Quatrième de couverture

Hélène ou la solitude est l'histoire poignante d'une petite libanaise, symbole de son pays, déchiré, piétiné et abandonné de tous. Comme elle comprend que son père ne l'aimera pas, lui qui attendait un garçon, elle a l'intuition de tout ce qui va survenir et doit accepter, puisqu'il faut la marier, d'épouser un sous- officier de spahi et de quitter sa famille. Ballottée entre l'Orient et l'Occident, de son village natal de Baabda à Strasbourg, de Damas à Deir Ez-Zor sur l'Euphrate et à la foule anonyme de Paris, elle ne cesse pourtant d'espérer, prête à glaner un brin d'humanité, découvrir une main tendue ou même des yeux qui brillent. Au lieu de cela, le cortège des misères des petites gens et l'indicible absurdité de l'existence. Viendra-t-il ce jour où le cours des choses sera plus doux ?

« Roman mélancolique, poétique, dont les mots, la douceur, me poursuivent encore, et qui raconte le Liban et la France de la première moitié du vingtième siècle... Lisez la première page, vous n'arrêterez plus ». Hervé Bel, « Les Ensablés » site Actualitte

Biographie

Jean Gaulmier, né à Charenton-du-Cher en 1905 se tourne très tôt vers les lettres et la philosophie et son grand attrait pour l'Orient le convainc d'apprendre l'arabe. Il devient ami avec des Syriens envoyés à Paris dans le cadre du mandat Français en Syrie et au Liban. Tout ce qu'il apprend sur ces pays lui fait désirer de les connaître. Pour se rendre au Liban, il s'engage pour deux ans au 17e régiment de tirailleurs sénégalais. Très vite, il est nommé directeur des études françaises et débute une carrière de professeur d'université et d'écrivain à Beyrouth, Damas et Alep. Il ne revient en France qu'en 1951 où il aura à coeur d'être l'ambassadeur d'un rapprochement entre l'Orient et l'Occident. Il se réclame du courant littéraire « populiste » centré sur l'étude sincère de la réalité et une profonde empathie pour le peuple.