Histoire de Bordeaux : d'Ausone à Mauriac : Bordeaux leur doit sa liberté d'esprit. Vol. 4. De la tragédie des Girondins (1793) à la fin du pouvoir des Bourbons : par les personnages qui se sont engagés pour que vivent libres Bordeaux et la Guyenne (l'Aquitaine)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 100 pages
Poids : 283 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84622-336-2
EAN : 9782846223362

De la tragédie des Girondins (1793) à la fin du pouvoir des Bourbons

par les personnages qui se sont engagés pour que vivent libres Bordeaux et la Guyenne (l'Aquitaine)

chez Dossiers d'Aquitaine

Serie : Histoire de Bordeaux : d'Ausone à Mauriac : Bordeaux leur doit sa liberté d'esprit. Vol 4

Collection(s) : Mémoire et patrimoine

Paru le | Broché 100 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Histoire de Bordeaux d'Ausone à Mauriac

Bordeaux leur doit sa Liberté d'Esprit

Bordeaux : l'hommage aux Girondins

À Bordeaux, les parlements ont nourri l'esprit de résistance contre la royauté et créé l'esprit de révolte contre le pouvoir absolu. Bordeaux est une terre exposée aux rayons de la philosophie. La République ne pouvait que naître dans le berceau de Montaigne et Montesquieu, ces deux grands républicains de la pensée française selon Lamartine.

Pour le député Vergniaud, les Girondins avaient rêvé « d'une République pure au-dessus de tout chaos et de toute anarchie ». Plutôt que fuir ou trahir, ils ont gravi les marches de l'échafaud en chantant La Marseillaise. Girondins, vous qui avez préféré le dialogue à la baïonnette, vous êtes plus que jamais notre fierté.

Napoléon : l'épopée de la Grande Armée

1808-1814 : Bordeaux a été au coeur du mouvement des troupes avec le passage, à plusieurs reprises, de la Grande Armée, chemin du Sablonat (aujourd'hui place Nansouty) pour aller guerroyer en Espagne. Napoléon lors de ses brefs séjours à Bordeaux ou à Bayonne a envisagé de faire de la capitale girondine la grande base arrière de l'Empire avec d'audacieux projets comme le pont de pierre ou l'hôpital de 1 000 lits. Las, les guerres et les maréchaux dépensiers vont engloutir les budgets. Les promesses ne seront pas tenues et c'est la royauté qui achèvera les travaux.