Histoire de Bordeaux : d'Ausone à Mauriac : Bordeaux leur doit sa liberté d'esprit. Vol. 9. De l'invasion de la France par les troupes nazies (1940-42) à la liberté retrouvée (1945) : par les personnages qui se sont engagés pour que vivent libres Bordeaux et la Guyenne (l'Aquitaine)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 99 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84622-371-3
EAN : 9782846223713

De l'invasion de la France par les troupes nazies (1940-42) à la liberté retrouvée (1945)

par les personnages qui se sont engagés pour que vivent libres Bordeaux et la Guyenne (l'Aquitaine)

chez Dossiers d'Aquitaine

Serie : Histoire de Bordeaux : d'Ausone à Mauriac : Bordeaux leur doit sa liberté d'esprit. Vol 9

Collection(s) : Mémoire et patrimoine

Paru le | Broché 99 pages

Tout public

15.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Histoire de Bordeaux d'Ausone à Mauriac

Bordeaux leur doit sa liberté d'Esprit

Juin 1939, l'armée du Chancelier Hitler, porte-parole du fascisme mondial, vient d'infliger à la France, dans une guerre éclair, la plus grande défaite de son histoire militaire. Au final, quelque 1.850.000 prisonniers de tous rangs, 90.000 soldats Français morts au combat, 200.000 blessés auxquels il faut rajouter environ 10.000 morts civils. L'exode des réfugiés Belges et Luxembourgeois, des Français du Nord et des Ardennes en moins d'un mois, fait passer la population de l'agglomération de Bordeaux de 400.000 à 1,5 million d'habitants.

17 juin 1940 à 12 heures, le maréchal Pétain, sur les ondes de radio- Lafayette à Bordeaux déclare : « C'est le coeur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser les combats ». Cinq jours plus tard, la France capitule et signe l'armistice avec l'Allemagne, à Rethondes. Le 23 juin 1940, les premières automitrailleuses allemandes s'installent sur la place des Quinconces à Bordeaux.

Le 24 octobre 1940, à Montoire, le maréchal Pétain, chef du gouvernement, serre la main du dictateur Hitler et de sorte, officialise la collaboration franco-allemande. Le premier ministre Pierre Laval rajoute : « Je souhaite la victoire de l'Allemagne » alors que l'Occupant nazi, par des méthodes barbares, terrorise les peuples sous son autorité.

Tout est perdu !

C'était sans compter sur l'appel à continuer le combat, depuis Londres, d'un général Français nommé de Gaulle.

C'était sans compter sur la révolte de centaines puis de milliers de résistants de tous âges et de tous horizons qui, au risque d'être torturés et envoyés dans les camps de la mort, ont pris les armes. C'était sans compter sur la puissance des armées alliées qui ont forcé l'Allemagne nazie à signer une capitulation sans condition.

Le 29 août 1944, Bordeaux est libéré. Le 8 mai 1945, la guerre est terminée en Europe. Tout reste à reconstruire !