Histoire de l'éducation en Côte d'Ivoire. Vol. 2. De la conférence de Brazzaville à 1984

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 589 pages
Poids : 880 g
Dimensions : 15cm X 25cm
Date de parution :
EAN : 9782915352016

De la conférence de Brazzaville à 1984

de

chez Centre de recherche et d'action pour la paix

Serie : Histoire de l'éducation en Côte d'Ivoire. Vol 2

Paru le | Broché 589 pages

Public motivé

35.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Le premier tome de L'Histoire de l'éducation en Côte d'Ivoire allait des origines à la Conférence de Brazzaville. Il évoquait, tour à tour, l'éducation traditionnelle, l'action des missionnaires, les écoles coraniques, l'implantation et le développement de l'école laïque. Cet exposé montrait que le colonisateur ne souhaitait pas du tout reproduire ce qui se passait en France (le fameux «nos ancêtres les Gaulois»). Tout au contraire, les responsables français ne cessent d'insister sur la nécessité d'un enseignement adapté. Adapté à l'exploitation coloniale bien sûr, mais aussi aux besoins des paysans.

Dans les décennies qui suivent 1945, on assiste à une extraordinaire explosion des effectifs. Et, c'est à partir de cette date que, paradoxalement sous la pression des Africains, les structures et les programmes s'alignent sur la France. Après les Indépendances, chaque pays choisit sa voie. La Côte d'Ivoire reste un temps dans le prolongement de cette politique d'assimilation. Mais, progressivement, le corps enseignant s'ivoirise et les programmes évoluent pour s'adapter aux besoins du pays. C'est ce double mouvement qui est décrit ici, à travers l'histoire des institutions et en s'appuyant sur des témoignages irremplaçables.

Biographie

Paul Désalmand a enseigné en Côte d'Ivoire de 1965 à 1984 : aux lycées de Bouaké, Abidjan puis à l'Ecole normale supérieure. Auteur d'une cinquantaine d'ouvrages, il consacre sa retraite à de nouveaux titres. Son voeu le plus cher serait que des Ivoiriens prolongent la présente étude dont il a établi les bases.

Du même auteur : Octave Grossous