Histoire des nations belges : Belgique, Wallonie, Flandre : quinze siècles de passé commun

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 374 pages
Poids : 620 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782804021160

Histoire des nations belges

Belgique, Wallonie, Flandre
quinze siècles de passé commun

de

chez Labor

Collection(s) : Histoire

Paru le | Broché 374 pages

Public motivé

22.00 Indisponible

traduit du néerlandais par et avant-propos Chantal Kesteloot


Quatrième de couverture

L'année 2005 a été l'occasion de nombreuses célébrations pour les 175 ans de la Belgique. Mais il faut peut-être maintenant bousculer les certitudes. C'est un des objectifs de l'ouvrage de Lode Wils. Ce livre a en effet été le premier, depuis longtemps, à s'intéresser à la formation des identités nationales dans nos régions.

L'auteur s'attache surtout à retracer la naissance de la nation moderne durant les derniers siècles : de l'unification d'un ensemble à la géographie mouvante par les Bourguignons à la progressive naissance de l'État belge, première nation réellement moderne et modèle pour le reste de l'Europe. Il analyse ensuite le processus de prise de conscience nationale - flamande d'une part et wallonne de l'autre -, dont l'issue nous est encore inconnue.

Lode Wils ne se limite pas à un strict récit chronologique, il essaie aussi et surtout d'expliquer les facteurs qui ont façonné notre histoire ainsi que les influences mutuelles des mouvements flamand et wallon.

Ce livre nourrira, à n'en pas douter, le débat et contribuera à une meilleure connaissance de l'Histoire de nos régions, de leurs habitants et de leurs idéaux qui ont contribué à dessiner le moule de cette Belgique sans cesse en proie à l'éclatement et pourtant porteuse de consensus.

Biographie

Lode Wils est professeur émérite d'Histoire contemporaine de la Katholieke Universiteit Leuven. Depuis les années 1950, il est l'un des historiens belges les plus productifs, et sa renommée scientifique est unanimement reconnue. Le livre a été traduit par Chantal Kesteloot, historienne au Ceges et professeur à l'université libre de Bruxelles.