traduit du turc par Sylvain Cavaillès
Quatrième de
couverture
Né dans un village perdu d'Anatolie vers la fin des années 1930, Hodan grandit en osmose avec la nature, entre un père absent et désaxé, et une mère, victime passive des machinations d'une tante. Au cours de son service militaire, il assiste à des pogroms visant les non musulmans. Ensuite, il retrouve sa mère à Ankara, qui se remarie sans son approbation.