Quatrième de
couverture
Panaït Istrati devient écrivain grâce à Romain Rolland, qui le surnomme le Gorki des Balkans. Compagnon de route des communistes, il est un des premiers à dénoncer, après un séjour en URSS, la réalité du régime stalinien, ce qui lui vaut d'être calomnié et traîné dans la boue.