Collection(s) : Etre patron aujourd'hui
Paru le 12/10/2004 | Broché
Professionnels
préface Guillaume Sarkozy
J'ÉVALUE MON ENTREPRISE
Ce nouveau livre de Gilles Lecointre aborde la question évoquée par tous les dirigeants de PME à un moment ou à un autre de leur « double vie » de patron et de propriétaire : « Mais, que vaut vraiment mon entreprise sur le marché ? ».
Face aux nombreuses réponses théoriques (essentiellement financières), qui suscitent en général difficultés de compréhension et scepticisme, Gilles Lecointre propose de revenir à trois principes de bon sens :
Partant de là, l'auteur vous propose un modèle d'estimation, simple, concret, fondé sur l'observation de transactions réelles. Intitulé VALENTIN® (comme valeur entrepreneuriale, ou cote d'amour des PME), ce modèle vous permet, à l'aide du CD joint, de calculer avec précision la valeur probable de votre entreprise sur le marché.
L'originalité de cette approche réside dans l'intégration de la notion de « fonds de commerce », seule capable de mettre en évidence la valeur qualitative, ce que l'auteur appelle aussi les racines, le « génome » de l'entreprise. Cette notion est rendue très accessible par la simplicité des critères proposés et leur appréciation sous la forme d'une notation de 0 à 20.
Ainsi cet ouvrage constitue-t-il un outil immédiatement utilisable pour comprendre et mesurer la valeur « marchande » de son entreprise.
Gilles Lecointre, statisticien et économiste de formation est président directeur général du Groupe Intercessio, acteur leader dans la cession des PME en France, et éditeur du magazine « Repreneur ». Dans ce cadre, il écrit un premier livre rapidement épuisé et réédité, « La transmission d'entreprise en pratique », qui pose les principes d'un modèle d'évaluation des entreprises. Devant l'intérêt suscité par son approche, il décide de consacrer un nouvel ouvrage entièrement dédié à la valeur de marché des entreprises. Il est aussi le fondateur, en partenariat avec le Groupe ESSEC de « l'Institut de la Transmission d'entreprise » et de la « Cote argus des entreprises ».