Jacques Brel ou La difficulté d'être belge

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 253 pages
Poids : 340 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782804609146

Jacques Brel ou La difficulté d'être belge

de

chez La Renaissance du livre

Collection(s) : Paroles d'aube

Paru le | Broché 253 pages

Tout public

15.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Pour la réalisation de cette étude biographique portant sur Jacques Brel, son oeuvre, sa "belgitude", Annie Massy s'est livrée à une véritable enquête à partir des chansons de l'artiste, des dossiers de presse et d'entretiens avec les témoins de la vie du chanteur.

Au cours de six années de recherches, l'auteur a cherché à démontrer la force, l'originalité et l'authenticité des chansons de Jacques Brel. Son étude est également conçue comme un hommage aux racines du chanteur, racines dont il n'a jamais pu s'éloigner vraiment.

Pour Brel - parti trop tard de son pays d'origine pour se reconstruire ailleurs -, la difficulté d'être Belge, c'est surtout la difficulté d'être Brel, d'être lui-même.

Des ouvrages d'entretiens, des biographies, des essais, des textes, de la poésie...

"L'Aube c'est l'instant où se lève la parole - et, avec elle, toute la lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils répondent avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture. Avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page."

Biographie

Annie Massy est née à Charleville. En 1984, elle obtient une thèse de doctorat sur Brel, son oeuvre et sa "belgitude" à la Faculté de Lille. Elle enseigne actuellement à Chaumont (Haute-Marne) et collabore à La Croix de la Haute-Marne.

Elle a publié précédemment un roman social et un ensemble de récits d'histoire populaire dans des hebdomadaires régionaux. Chez Dominique Gueniot (Langres), elle a publié L'Aventure au féminin (2001) et participé à l'ouvrage collectif sur 52 écrivains de Jean de Joinville à Jean Robinet (2002).