Paru le 26/10/2010 | Broché 69 pages
Je vivrai sans temps
Le présent recueil, dont la démarche est autant d'ordre éthique que de nature poétique, recouvre les douze dernières années d'écriture de Gérard Prémel. Quelques textes plus anciens, revisités, viennent mettre en perspective les plus récents.
Pour situer Gérard Prémel :
...une vision si aiguë des sociétés contemporaines qu'il s'en dégage une sorte de fantastique, où les droits de l'individu... viennent enchevêtrer leurs propres exigences.
Serge Brindeau, Panorama de la poésie contemporaine, Le Seuil, 1974
... de grands mouvements qui entraînent le lecteur dans une sorte de réalisme fantastique... une poésie en liberté.
Robert Sabatier, La poésie au XXe siècle, Albin Michel, 1988
...heureux de vous voir revenir à la poésie, qui est votre vraie patrie.
Maurice Nadeau, Correspondance, 1995
Gérard Prémel, à 14 ans et demi, est apprenti peintre en lettres et adhère au Parti communiste (qu'il quitte vingt-et-un ans plus tard). Passé par les Beaux-Arts, section architecture, il a soutenu une thèse de sociologie à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, et enseigné à Vincennes (Paris-VIII ). Breton, il quitte Paris et travaille à Rennes où il a, durant six ans, dirigé la revue Hopala / La Bretagne au monde.