Collection(s) : Je vous écris de...
Paru le 22/11/2013 | Broché 127 pages
Tout public
Sébastien Moreau, 1526 : Ils se logèrent en un village du pays de Labourd, autrement basque, nommé Gataru, qui est à une demi-lieu près du dit sainct-Jehan de Luz sur le rivage de la mer, beau lieu, où s'éprennent volontiers les baleines.
Abel Jouan, 1564 : Et séjourna huit jours à Sainct-Jehan de Luz, pendant lequel il prit plaisir à se faire promener à la mer dans des barques, et à voir danser les filles à la mode du Basque, qui sont toutes tondues.
Abbé de Fontenai, 1763 : Saint jean de luz est la seconde ville du labours. La petite rivière de Ninette sépare cette petite ville d'un gros bourg qui s'appelle Siboure. L'embouchure de cette rivière est une rade assez bonne, mais de difficile entrée.
Lettre à M. Picault, ingénieur du roi, 1768 : Le vieux quai de ciboure a été complètement démantelé, et la paroisse, dans cette partie, se trouve comme en plein mer.
Abbé d'Iharce de Bidassouet, 1825 : Saint-Jean-de-Luz n'est guère renommée aujourd'hui ; mais elle n'a pas toujours été sans gloire.
Frédéric Soutras, 1858 : Cependant, depuis quelque temps, cette ville, qui semblait se résigner à sa ruine, est sortie lentement de son apathie ; elle a compris que la mer, qui avait été la cause de sa décadence, devait être l'instrument de sa rénovation.
Anonyme, 1864 : Ces femmes sveltes et nerveuses, admirablement découplées, la hanche saillante et mobile, le torse cambré, la jambe nue et le jupon court ; ces filles du soleil, en qui brille parfois la beauté de l'Orient, ce sont les mareyeuses de Saint-Jean-de-Luz [...] Voyez aussi comme la corbeille est admirablement équilibrée sur la tête !
[...] Regardez vite, touriste, car ce tableau passera comme une vision !