Paru le 15/12/2015 | Broché 342 pages
Tout public
Jean Anglade, homme de plumes.
En quelque soixante-dix ans d'écriture, Jean Anglade a publié un peu plus d'une centaine d'ouvrages.
Louis Passelaigue et Bernard Steinbrecher ont choisi de nous raconter l'homme, en prenant comme fil conducteur son abondante production littéraire. Un livre qui a le mérite de nous faire comprendre que derrière le romancier du terroir que nous croyions connaître se dissimule un acteur de premier plan de la littérature française à l'oeuvre immensément variée.
Années d'enfance en pays thiernois, émois adolescents, influence de ses professeurs et de ses pairs, aléas de la guerre et vaches maigres, plaisirs d'écrire et de conter, sont habilement passés au crible dans un livre abondamment illustré.
Né le 14 août 1934 à Saint-Mandé (Val de Marne), Auvergnat d'adoption, ancien chef comptable à la chocolaterie « La Marquise de Sévigné » (Royat), puis expert-comptable à Chamalières près de Clemont-Ferrand, Bernard Steinbrecher collectionne les cartes postales depuis plus de quarante ans. Membre fondateur de l'Association Cartophilique Clermontoise dont il fut le trésorier, le président et le responsable de la revue « B.I.L.C.A », il est le co-auteur, avec Marius Gibelin de l'ouvrage intitulé « Clermont-Ferrand, Montferrand à la Belle Epoque » (Ed. De Borée, 2001). Résidant tantôt à Arlanc dans le sud du Puy-de-Dôme, tantôt dans la capitale auvergnate, il parcourt l'Auvergne en quête de cartes postales inédites depuis un demi-siècle.
Né le 18 avril 1936 à Clermont-Ferrand, Louis Passelaigue est le fils d'un couple d'instituteurs des Combrailles. Ancien enseignant lui-même, d'abord en Haute-Loire puis dans le Livradois, il est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages parmi lesquels « L'histoire des rues de Clermont et Montferrand » (Ed. De Borée, 1997), ou encore « Le Cardinal Jean Villot (1905-1979). De l'Auvergne au Vatican » (Ed. La Galipote, 2014). Adepte du collectage à l'ancienne, on lui doit par ailleurs plus de trois cents articles parus en différentes revues telles que « Le Gonfanon », « Auvergne-Magazine », « La Galipote », « Les Cahiers Bourbonnais ».
En 2006, il a reçu le Prix Athanor (section 2) récompensant ses trente années de publications. Infatigable travailleur de l'ombre, il poursuit son oeuvre de collecte de documents sur l'Auvergne depuis Gerzat, aux portes de la capitale auvergnate, où il est désormais installé.
