Collection(s) : Textuelles
Paru le 02/09/2004 | Broché 200 pages
Public motivé
organisé par le Centre ORLAC, Université de Provence, le CTEL, Axe Poïma, Université Nice Sophia-Antipolis et l'Action culturelle de la Faculté des lettres de Nice
Entre la grande guerre et les années soixante du dernier siècle, Jean Paulhan a été en rapport avec tout ce que la France (et quelques pays voisins : en particulier la Belgique) comptait de poètes. Sans négliger la réflexion de Paulhan touchant la poésie en tant que genre, ce livre, qui réunit les actes d'un colloque organisé à Nice au printemps 2002, se propose de prendre une vue à la fois exacte et variée des relations de travail que, avant même de devenir directeur de la NRF, il a entretenues avec les poètes ses contemporains. On y trouvera donc notamment - mais non exclusivement - des communications visant à faire le point sur des «relations bilatérales», choisies en raison de leur importance, de leur intérêt, de leur singularité, ou de la méconnaissance dont elles sont l'objet, entre Jean Paulhan et Supervielle, Michaux, Ponge, Éluard, Artaud, Bousquet...
Claude-Pierre Pérez, professeur à l'Université de Provence, a fait paraître plusieurs ouvrages consacrés à Claudel. Il a dirigé le colloque consacré à Jean Paulhan à Cerisy-la-Salle en 1998 (Paulhan, le clair et l'obscur, Gallimard, 1999) et publié, en collaboration avec Odile Felgine, la correspondance Paulhan-Caillois (Gallimard, 1991) et Paulhan-Éluard (éd. Claire Paulhan, 2003).