Jean Perriolat : d'un pas de disciple : de la JOC à Mauthausen

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 146 pages
Poids : 216 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782845735170

Jean Perriolat

d'un pas de disciple
de la JOC à Mauthausen

de

chez Parole et silence

Paru le | Broché 146 pages

Public motivé

15.30 Indisponible

préface Jean-Christophe Lagleize


Quatrième de couverture

Le 8 mai 2005, dans l'église Notre-Dame de Lourdes à Romans - celle où Jean Perriolat venait à la messe quotidienne - nous étions nombreux à célébrer le 60e anniversaire de sa mort dans le camp de concentration de Mauthausen.

Pour ne pas perdre mémoire du témoignage de Jean Perriolat, il était nécessaire de proposer un nouveau portrait de ce jeune qui peut être un signe pour les jeunes d'aujourd'hui.

En 1938, Jean Perriolat écrivait: «Ô Jésus, accordez-moi la grâce d'être vraiment un Christ dans toute ma vie... Je suis le petit véhicule de l'Amour pour ses frères et mes frères.»

Par amitié et sens de la mission du Christ, Jean rejoindra en Allemagne les jeunes du STO.

Son sacrifice, comme le grain tombé en terre, porte du fruit ou plutôt portera du fruit, si nous avons discerner les signes des temps pour bâtir un monde fraternel. Hommes et femmes qui avez offert vos vies, comme des victimes bafouées, dites-nous quel monde nous devons bâtir, dites-nous que le Christ peut être la source de nos vies.

+ Jean-Christophe LAGLEIZE

Évêque de Valence

Biographie

Robert Masson, journaliste depuis plus de cinquante ans, a été directeur de France Catholique et de Panorama aujourd'hui. Il est l'auteur de Mémoire des jours; Mémoire d'un croyant; Montjoie; L'exil et la solitude (avec Irina Alberti); Thibirine (Prix des écrivains croyants 1997); La fidélité de Dieu (avec Fradiey Lousky); Jusqu'au bout de la nuit; Marcellin Champagnat; Jacques Loew. Ce qui s'appelle la foi; Joseph Cassant, les inaperçus de Dieu; C'était un larron, du banditisme à la Trappe; Henri Vergès, un chrétien dans la maison de l'Islam; Madeleine Delbrêl, il suffirait de croire.