Jeanne d'Arc ou Jehan d'Orléans : une autre vérité ? : récit romancé

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 145 pages
Poids : 200 g
Dimensions : 15cm X 20cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35551-035-9
EAN : 9782355510359

Jeanne d'Arc ou Jehan d'Orléans

une autre vérité ?
récit romancé

de

chez Les éditions de l'Officine

Paru le | Broché 145 pages

20.30 Indisponible

Quatrième de couverture

La bisexualité de ce personnage historique consacre-t-elle une mise en péril du pouvoir royal de Charles VII ?

La «Bergère de Domrémy» n'était-elle pas en fait un prince bâtard appelé à jouer aux côtés de ses demi-frères de sang royal un rôle éminent dans la lutte contre les Anglois ?

Pourquoi ce personnage que l'Histoire a toujours présenté comme une femme, malgré les incohérences et le manque de logique flagrant, ne serait-il pas un prince bâtard, victime d'un commerce d'enfants entre la Cour et Domrémy ?

Cette hypothèse de la masculinité de Jeanne liée à sa naissance royale, remet en cause le «mythe de la bergère» jusqu'à présent accepté par tous et qui se révèle actuellement obsolète.

En cette période troublée du Moyen-Age, comment de grands capitaines de guerre, tels Dunois et Gilles de Rais, auraient-ils pu n'être que des seconds d'une villageoise et lui obéir aveuglément ?

Comment le futur roi aurait-il confié à une femme une armée forte de milliers d'hommes ? Ce personnage ambigu présentait-il un danger pour la couronne de France ?

Le procès de Rouen n'avait-il pas simplement comme fondement canonique le travestissement d'un homme en femme, crime passible du châtiment du bûcher, comme toute hérésie ?

On peut se demander pourquoi la monarchie française, pendant plus de cinq siècles, n'a jamais songé à faire béatifier ce héros «féminin» qui avait amené le dauphin au sacre et pourquoi a-t-il fallu attendre la IIIe République pour ce faire... avec une canonisation intervenue fort utilement pour redynamiser le patriotisme des Français en 1920, au lendemain de la Grande Guerre ?

Le mérite de l'auteur est d'avoir soulevé le voile et d'oser remettre en question une «vérité révélée», alors que les pièces d'archives les plus sérieuses sont conservées secrètes.

Est-ce une hérésie nouvelle que d'avoir posé ce problème ?