Paru le 07/03/2002 | Broché 189 pages
Tout public
avec la collaboration de Marie-Dominique Arrighi
Ivrognes et vendeurs à la sauvette, petits Roumains pilleurs d'horodateurs, bandes rivales des cités, solitaires en détresse, automobilistes fous, tels sont quelques-uns des personnages qui hantent les pages de ce journal, tenu pendant un an par un «flic ordinaire». Enfin, ordinaire si l'on veut : intransigeant sur l'éthique du métier, intraitable avec ses supérieurs s'ils sont arrogants, cherchant toujours à convaincre les collègues désagréables ou brutaux, expliquant au public ce qu'il est en droit d'attendre de sa police, Erik Blondin donne dans ce journal une image qui justifie le beau nom de «gardien de la paix».
Né en 1956. Erik Blondin s'engage dans l'armée à 18 ans, retourne à la vie civile six ans plus tard, devient chauffeur-livreur, peintre en bâtiments, vendeur d'aspirateurs...
En 1983, il passe le concours de la police nationale où il est reçu premier. Il a créé en 1995 le Syndicat de la police nationale. Depuis sept ans, il est gardien de la paix au commissariat du XIVe arrondissement de Paris.