traduit de l'italien par Alain Sarrabayrouse | préface Leonardo Sciascia et Sandro De Feo
Quatrième de
couverture
A partir du milieu des années 30, Brancati, qui dans sa jeunesse s'était laissé séduire par l'activisme fasciste, n'aura de cesse de fustiger les comportements moutonniers, l'incapacité à développer une activité intellectuelle personnelle. Mais son journal est aussi l'évocation de la Sicile et celle des grands écrivains qui ont accompagné l'auteur.