Quatrième de
couverture
La famille de Pavel est enfin réunie. Son fils et sa fille seront bientôt intégrés aux classes normales. Justine voudrait bien se lier d'amitié avec Sofia, car déjà Stéphane et Zoran amateurs de fudbal (soccer en serbe) sont devenus inséparables. Le professeur de Justine amoureux de poésie intègre la recherche, la découverte et la lecture partagée de poèmes à la routine hebdomadaire en classe. Justine découvre un grand poète serbe, Zmaj, que récite par coeur Sofia. Les vendredis « Patak » de la poésie prennent leur envol, jusqu'au spectacle mettant en vedette les deux filles. La poésie d'ici et d'ailleurs devient vite un catalyseur pour faire connaissance et devenir définitivement des amies. Le plaisir des mots permet tout autant d'accueillir ou de s'intégrer à un nouveau pays. Le roman inspire des valeurs d'ouverture sur les différences et met de l'avant la culture, sa richesse insoupçonnée, méconnue et noyée dans l'uniformisation grandissante. L'amitié naît de la connaissance et de la reconnaissance des ces cultures. La culture est enrichissante quand elle se vit au quotidien.