le dossier pour servir la vérité
Quatrième de
couverture
1991, dans le sous-sol d'une villa, on découvre le cadavre de Ghislaine Marchal, la propriétaire des lieux. Deux inscriptions sont écrites avec son sang : "Omar m'a tuer". C'est accuser le jardinier qui s'appelle Omar Raddad. Mais pour la défense, cette inscription aurait pû être écrite par un autre meurtrier. Pour l'auteur, sa conviction, après le procès, est qu'il est coupable. Il s'explique.