la fin'amors chez les premiers troubadours
Quatrième de
couverture
Une lecture moins sélective que de coutume de la littérature amoureuse des troubadours, qui fait place à l'expression déroutante d'une soif d'absolu, d'une misogynie affichée, voire d'une salacité confinant parfois à la pornographie.