Paru le 10/10/2019 | Broché 121 pages
traduction en vers de l'allemand par Charles Jeanson
Quand j'ouvre mes yeux éperdus,
Je ne vois que mon bien-aimé...
Je crois avoir perdu la vue,
Depuis que je l'ai rencontré...
C'est comme en un rêve éveillé :
Son image flotte devant
Moi ; elle surgit, éclairée,
Des profondeurs obscurément...
Voici le cycle mis en musique et en lied pur Robert Schumann en 1840, où celui-ci pressent « une saisissante projection du destin de sa compagne » Clara (B. François-Sappey). D'autres poèmes, suggérant un désenchantement résigné, sont également proposés ici dans une traduction nouvelle, avec le texte original en regard.