L'âne mort et la femme guillotinée

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 273 pages
Poids : 314 g
Dimensions : 11cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37941-242-4
EAN : 9782379412424

L'âne mort et la femme guillotinée

de

chez Arbre vengeur

Collection(s) : Exhumérante

Paru le | Broché 273 pages

18.00 En stock dans notre réseau
Ajouter au panier

préface de Tristan Maya


Quatrième de couverture

L'âne mort et la femme guillotinée

Le roman noir anglo-saxon, souvent gothique et pour le moins excessif, a connu une telle vogue qu'il en est devenu un genre à part, suscitant sur le continent des imitations, plus rarement des parodies pourtant méritées. À l'heure où la littérature se pique à nouveau d'épouvante, il faut redécouvrir L'Âne mort et la femme guillotinée, cette histoire moqueuse, frénétique et délirante qui a réussi à s'imposer comme une des grandes oeuvres de la littérature romantique française.

Ce pur récit macabre aux scènes ahurissantes et qui « dégage une odeur de soufre et de ténèbres », satire de la corruption et de l'horrible, ouvre aussi la voie à ce qui deviendra le roman fantastique moderne tout en constituant une des premières pièces de cet humour noir dont on connaît la riche destinée.

Âmes sensibles, aurez-vous le courage de lire l'histoire d'Henriette, femme sublime qui finit sur l'échafaud ?

Biographie

Natif de Saint-Étienne, Jules Janin (1804-1874) débute au Figaro à 21 ans, ayant abandonné le droit : il travaille à la Revue de Paris, à la Revue des Deux Mondes et contribue à la création du Journal des Enfants. En 1829, il publie son premier roman L'Âne mort et la femme guillotinée, où il parodie à l'envi la littérature macabre en vogue et qui devient un beau succès de librairie avec de nombreuses rééditions sur lesquelles l'auteur interviendra.
Il assurera pendant quarante ans le feuilleton dramatique du Journal des débats. Favorable aux nouveautés romantiques, il est consacré « prince de la critique ». En 1858, il réunit ses feuilletons en six volumes sous le titre Histoire de la littérature dramatique.
Après de nombreuses tentatives, bien assagi, il est élu à l'Académie française en 1870 au fauteuil de Sainte-Beuve, ce qui ne l'empêche pas de plonger dans un cruel oubli après sa mort.