Quatrième de
couverture
Les traductions de Sophocle sont la dernière oeuvre de Hölderlin. Lorsqu'il les fait paraître en 1804, assorties des Remarques, Schelling, atterré, écrit à Hegel qu'elles trahissent son délabrement mental, et, au comité de lecture du Théâtre de Weimar, on s'esclaffe. Nul ne peut ou ne veut comprendre alors que la réécriture littérale de Hölderlin ouvre la voie de la traduction moderne.