traduit de l'allemand par Auguste Dietrich
Quatrième de
couverture
L'auteur dénonce l'indigence des livres, de leurs auteurs et de leurs lecteurs. Il rappelle que les grandes oeuvres sont rares, qu'à les lire le lecteur s'en trouve élevé et fortifié et il conseille de les ruminer, quitte à délaisser la société des hommes.