Quatrième de
couverture
Pour tenter de cerner l'énigme des continents engloutis et des déluges qui sont évoqués et font rêver les hommes depuis Platon, L. Gérardin propose ici une explication raisonnable : les remontées brutales des eaux des mers et des océans à la fin de la dernière glaciation expliqueraient l'universalité de ces phénomènes qui sont restés dans la mémoire des hommes.