traduit du russe et postface par Suzanne Héral
Quatrième de
couverture
Roman d'apprentissage, saga en péplum, conte érotique, exercice d'érudition, testament philosophique, ce roman ressuscite les principaux aspects de la vie quotidienne dans l'Empire romain d'Occident au moment où celui-ci vacille et jette ses derniers feux. Paru pour la première fois dans la revue La pensée russe, entre 1911 et 1912.
