L'école face à l'obscurantisme religieux : 20 personnalités commentent un rapport choc de l'Education nationale

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 377 pages
Poids : 520 g
Dimensions : 16cm X 25cm
Date de parution :
EAN : 9782914388948

L'école face à l'obscurantisme religieux

20 personnalités commentent un rapport choc de l'Education nationale

chez Max Milo

Collection(s) : Mad

Paru le | Broché 377 pages

Tout public

20.29 Disponible - Expédié sous 21 jours ouvrés
Ajouter au panier

Quatrième de couverture

L'école face à l'obscurantisme religieux

20 personnalités commentent un rapport choc de l'Éducation nationale

Des jeunes filles obligées de raser les murs parce qu'elles ne s'habillent pas « comme il faut », des professeurs de lycée censés justifier un cours d'histoire sur les croisades, des élèves qui refusent de dessiner une carte de France « parce que ce n'est pas leur pays », des menaces, parfois physiques, contre des enseignants qui évoquent un texte de Voltaire sur Mahomet... Doit-on jouer un requiem pour l'école laïque ?

Qui peut soutenir qu'il ne se passe rien d'inquiétant dans certains collèges et lycées ? Certainement pas les auteurs du « rapport Obin », commandé puis occulté par l'Éducation nationale, sur Les Signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les établissements scolaires. Rédigé à partir d'une enquête de terrain sur tout le territoire français, par une équipe d'inspecteurs généraux, ce texte conclut à la nécessité, pour l'institution scolaire et l'ensemble de ses acteurs, de réaffirmer les valeurs fondamentales de la République, au premier rang desquelles la laïcité.

20 personnalités réagissent. Elles commentent, chacune selon leur optique, la banalisation de l'insulte raciste et antisémite dans certains lycées, la montée du sexisme, l'appauvrissement du niveau linguistique des élèves...

Dans certaines académies, il n'est pas un établissement scolaire qui ne connaisse, avec plus ou moins d'intensité, des tensions semblables à celles qui sont ici décrites. Mais ce n'est pas une fatalité, dit aussi le « rapport Obin » et, avec lui, ses commentateurs.