L'empreinte chrétienne en Gaule du IVe au IXe siècle

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 551 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-503-55044-2
EAN : 9782503550442

L'empreinte chrétienne en Gaule du IVe au IXe siècle

chez Brepols

Collection(s) : Culture & société médiévales

Paru le | Broché 551 pages

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Quatrième de couverture

Centre d'études supérieures de civilisation médiévale

Ce volume contient les textes de la plupart des communications effectuées lors de trois journées d'étude tenues à l'Université de Lille 3, à l'automne 2010. Ces journées avaient pour but de présenter les recherches en cours sur la topographie religieuse des villes épiscopales, de mieux faire connaître les espaces ruraux, objets de nombreux et récents travaux archéologiques et historiques, tout en étudiant les changements intervenus au cours de ces six siècles dans le domaine des normes et comportements sociaux. Les vingt contributions ici offertes entraînent le lecteur de la législation constantinienne à la normalisation carolingienne, des premiers signes archéologiques de la présence du christianisme aux prémices de la paroisse médiévale, des premiers monastères aux communautés cénobitiques strictement encadrées par les réformes carolingiennes, des plus hauts lieux du christianisme gaulois ou gallo-franc à des sites moins illustres mais tout autant chargés d'histoire. Les auteurs ont inscrit leurs réflexions dans les grandes problématiques qui animent aujourd'hui l'archéologie et l'historiographie des débuts du christianisme en Occident, ce qui permet d'apprécier, à chaque étape de ce long itinéraire, l'empreinte du christianisme en Gaule aux premiers siècles de son histoire.

Biographie

Michèle Gaillard, professeur d'histoire médiévale à l'université Lille 3-Charles-de-Gaulle et membre de l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion (IRHiS) est spécialiste d'histoire religieuse du haut Moyen Âge et particulièrement du monachisme. Après plusieurs années de recherches sur l'époque carolingienne, elle s'intéresse désormais plus particulièrement aux sources hagiographiques qu'elle entreprend de confronter aux données archéologiques pour comprendre les processus de christianisation en Gaule du Nord à la fin de l'Antiquité et au début du Moyen Âge.