L'ennemi principal est dans notre propre pays : l'opposition à la guerre impérialiste : 1914-1916

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 258 pages
Poids : 350 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915727-43-2
EAN : 9782915727432

L'ennemi principal est dans notre propre pays

l'opposition à la guerre impérialiste
1914-1916

chez les Bons caractères

Collection(s) : Classiques

Paru le | Broché 258 pages

Public motivé

16.50 Disponible - Expédié sous 4 jours ouvrés
Ajouter au panier

textes choisis et présentés par Rémi Adam


Quatrième de couverture

À l'occasion des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale, il est indispensable de rappeler ce que furent les réactions du mouvement ouvrier face au déclenchement de cette tragédie qui fit basculer les sociétés, en Europe et dans la majeure partie du monde, dans l'horreur et la barbarie.

Alors que les rivalités impérialistes envoyaient au massacre des dizaines de millions de travailleurs et de paysans, les dirigeants des principaux partis de la Deuxième Internationale, ceux de France, d'Allemagne, d'Angleterre, et de Belgique se dérobèrent et trahirent ouvertement les travailleurs pour une politique d'union sacrée ; ils votèrent les crédits de guerre, au mépris de toutes les résolutions adoptées sur cette question les deux décennies précédentes. Il en alla de même pour les dirigeants des organisations syndicales, qu'elles aient été ou non liées organiquement aux différents partis socialistes.

Face à cette trahison et au désarroi qu'elle occasionna dans les rangs ouvriers, peu nombreux furent ceux qui surent s'opposer à la guerre impérialiste et menèrent le combat pour la renaissance d'une Internationale ouvrière. Mais quelques-uns s'y engagèrent, dès le mois d'août 1914.

Quelques-uns des textes écrits par ces militants dans les deux premières années du conflit sont rassemblés dans ce recueil. Leur opposition à la guerre impérialiste et la défense de l'internationalisme prolétarien face à la trahison des dirigeants du mouvement ouvrier portaient, malgré la débâcle des directions réformistes, l'espoir d'une société débarrassée du système capitaliste, des frontières, du militarisme et de la guerre.