Quatrième de
couverture
Fasciola n’a pas le droit d’exister. Parce que Sarah, sa mère, n’avait pas eu le droit de lui donner la vie. En ces temps-là, plus le droit d’avoir deux enfants, et ce, même si le premier avait disparu avec son père. En ces temps-là, on ne vivait plus, on survait. Comme on pouvait. Sarah a caché Fasciola, jusqu’à ce que des voisines jalouses menacent de la dénoncer.