La barque ailée de Jean-Marie Le Bris, l'ardent rêveur

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 120 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 18cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782908294187

La barque ailée de Jean-Marie Le Bris, l'ardent rêveur

de

chez Paupières de terre

Collection(s) : Le Bord bleu de la mémoire

Paru le | Broché 120 pages

Tout public

19.00 Indisponible

Quatrième de couverture

«Il ne parlait rien moins que de changer la face du monde.» «Il voulait l'aviation avant que le mot fut inventé.»

Gabriel de La Landelle

Un jeune marin fait le tour du monde et rêve en regardant les albatros.

Il néglige le battement des ailes et comprend que les grands oiseaux se font porter par l'air. Ses intuitions rejoignent ses rêves. Pendant l'année 1856, il dessine et construit un engin de toile et de bois qui ressemble à un oiseau et qu'il appelle sa "barque ailée".

Il se nomme Jean-Marie Le Bris.

En décembre 1856, il deviendra le premier homme au monde à quitter le sol comme un oiseau, à regarder d'en haut la terre puis à redescendre vers la plage de Tréfeuntec en dirigeant l'Albatros, sa "barque ailée".

Biographie

Une religieuse de Quimper, Sœur Anne, se souvient encore d'Adrienne, en réalité Julie, fille de Jean-Marie Le Bris, morte à l'âge de 90 ans (1948), au couvent de la Miséricorde à Laval. A la mort de sa mère - deuxième épouse de J.-M. Le Bris (avril 1866), elle avait été recueillie dans un couvent où l'on recevait les jeunes filles en difficulté. A l'âge de 21 ans, elle décide de rester y vivre. Elle était brodeuse-couturière pour des maisons parisiennes. "Ambroisine, Emilie et moi partîmes en pension aux Ursulines, à Quimper. Paul fut confié à une tante : Aimée. Papa était navré de douleur."

Jean-Marie Le Bris parlait souvent de "l'oiseau" à ses enfants et ceux-ci en parlaient entre eux. Un jour Jean-Marie leur a dit en riant : "Rien d'étonnant si un beau jour je tombe avec mon oiseau dans votre cour de récréation".