Paru le 12/10/2017 | Relié sous jaquette 255 pages
Tout public
photos Thierry Suzan
Géo
Au commencement de ce livre, il y a un désir. Un désir d'ailleurs.
Le désir de ceux qui aiment le monde, de ceux qui pensent qu'aujourd'hui encore, la terre reste à découvrir.
Le désir de dire qu'on ne la sauvera que si on la trouve belle.
Un désir qui peut faire tomber les barrières, physiques et mentales, qu'érigent les hommes.
Un désir qui fait taire les météorologues du déclin et les apôtres du désenchantement.
Ce désir-là est une révolution douce, une révolution par le rêve.
Une rév-olution.
Eric Meyer
Rédacteur en chef du magazine GEO
Après des études en sciences économiques et commerciales, Eric Meyer
a préféré suivre son inclination pour
le journalisme : économique d'abord
(groupe Expansion, Prisma Media),
dans le droit fil de l'ESSEC dont il est
diplômé, puis généraliste au Figaro
Magazine dont ¡l fut directeur adjoint
de la rédaction. Fondateur de plusieurs revues (Newbiz, Arts Magazine),
il allie aujourd'hui avec GEO sa vocation de journaliste à sa passion pour
les voyages. Romancier et essayiste, il
a également publié, avec la journaliste
Christine Kerdellant, Les Ressuscités
(Flammarion, 2004), La Porte dérobée (Robert Laffont, 2007) et Les Fils
de Ramsès (JC Lattès, 2010).
Thierry Suzan
Grand reporter
Diplômé en journalisme au CUEJ de
Strasbourg, il enchaîne les tours du
globe pour la télévision (Thalassa,
Faut pas rêver, Envoyé Spécial...) et
pour la presse écrite (GEO, National Geographic, Figaro Magazine...).
Écrivain, journaliste, photographe et
conférencier, il saisit dans ses reportages les merveilles du monde et les
beautés universelles. Auteur de nombreuses publications, il est spécialisé
dans les mondes polaires et signe
l'ouvrage Vertige Polaire (Éditions
de La Martinière, 2015). Ses photographies sont publiées dans les plus
grands magazines de la presse française et internationale. Porté par un
regard novateur, une vision positive
de la vie et un esprit sans compromission, Thierry Suzan est convaincu
que la poésie demeure la dimension
souveraine de la photographie.