La bête du Gévaudan : nouvelles révélations sur un crime organisé au XVIIIe siècle, en Gévaudan

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 150 pages
Poids : 345 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-906278-82-0
EAN : 9782906278820

La bête du Gévaudan

nouvelles révélations sur un crime organisé au XVIIIe siècle, en Gévaudan

de

chez Roure

Paru le | Broché 150 pages

Tout public

15.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Roger Oulion n'a pas voulu raconter une autre histoire de la bête du Gévaudan, mais il a suivi pas à pas, griffe après griffe, depuis cinquante ans, les traces de l'animal. Il n'a jamais trouvé de réponse à ses questions dans les nombreux ouvrages relatant cette histoire.

Aujourd'hui il propose une nouvelle thèse en se servant de déductions à la façon d'un enquêteur de police après un crime. Mais après plusieurs crimes, plus d'une centaine.

La bête ? Il y a eu tant d'hypothèses : était-ce un loup, une hyène, un tigron, un chien, un hybride mi-loup, mi-chien ?

Roger Oulion affirme que la bête du Gévaudan était l'arme d'un crime organisé et que les loups ne sont pas entièrement responsables des 134 agressions mortelles. Il nous en livre l'auteur ou les auteurs.

Magistralement Roger Oulion répond aux thèses de nombreux auteurs en se posant des questions simples, mais évidentes. Comment un animal peut-il croquer un être humain, à dix heures du matin et recommencer le même jour à vingt kilomètres de distance ? Comment un animal peut-il lacérer un enfant avec des griffes après avoir parcouru des dizaines de kilomètres, pendant des jours et des jours ? Roger Oulion, chasseur lui-même sait bien que ses chiens de chasse n'ont plus d'ongles aux pattes en saison de chasse. Comment expliquer la présence d'une tête de fémur d'enfant dans l'estomac de la bête tuée, sinon parce qu'on l'aurait placé intentionnellement ? Comment Jean Chastel a-t-il pu tuer la bête aussi facilement après avoir cerné à douze hommes, une forêt de plus de cent hectares ? Quel est le rôle du curé de la Besseyre-Saint-Mary ?

Les invraisemblances racontées n'échappent pas à notre enquêteur. Les manipulations religieuses non plus. L'auteur explore les mystères de l'abbaye de Mercoire et les relations avec les Morangiès. Il s'inspire du rapport Marin de 1767 redécouvert.

L'histoire de la bête est l'histoire d'un crime organisé. Qui fut le serial killer de la Margeride au XVIIIe siècle ?

Biographie

L'auteur est né en novembre 1932 à Craponne-sur-Arzon. Passionné de peinture, en retraite dans le Midi de la France, mais tous les ans en vacances dans sa Haute-Loire, il garde la nostalgie du pays des rivières à truite, de cette Margeride, pour se passionner pour l'histoire de la bête du Gévaudan.