traduit de l'anglais par (Canada) Sylviane Lamoine
Quatrième de
couverture
Alors que le fascisme a été mis en déroute à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sa vision sociale et sa doctrine corporatiste n'ont pas disparu, écrit le romancier John Saul, qui tente ici de reconnecter le langage et la réalité. Aveugle sur elle-même, notre civilisation occidentale l'est peut-être plus qu'aucune autre.