Collection(s) : L'imaginaire
Paru le 14/01/1988 | Broché 270 pages
traduit de l'anglais par Michel Persitz | préface de Colette Aubry, note biographique de Lois Ames
Ecrit quelques mois avant le suicide de Sylvia Plath, la cloche de détresse est devenu le roman culte des jeunes filles à fleur de peau
Poignant et essentiel
Mme alexandra romaniw (Librairie L'Atelier)
"C'était un été étrange et étouffant. L'été où ils ont exécuté les Rosenberg. Je ne savais pas ce que je venais faire à New-York."
Mr Librairie Le Comptoir des Mots (Le Comptoir des Mots)
Un petit monument émouvant de la littérature américaine.
Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d'autres lauréates d'un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d'une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d'étudiante américaine, des amours qu'elle a connues. Tout bascule lorsque Esther quitte New York. Tentatives de suicide, traitements de choc, guérison, rechutes, et, pour finir, l'espoir, Esther est à la fois «patiente» dans l'univers hospitalier et observatrice au regard aigu de ce monde, qui a pour toile de fond l'Amérique des années 50.