farce en cinq tableaux
Quatrième de
couverture
"Certains prétendent écrire comme ils veulent. Moi j'écris comme je vois. Et ce que je vois est une farce. Au quotidien. Une farce énorme, grossière, caricaturale : de faux-semblants en contradictions, de tricheries en civilités, de parjures en renonciations, nous cheminons masqués, les uns parmi les autres, comme autant de pantins amnésiques."