Quatrième de
couverture
Mina Baïlar quitte son pays avec, pour seul bagage, un manuscrit. Arrivée à Paris, elle qui croyait être sortie de la cuisse de Kafka, et qui rêvait en français, échoue à prononcer une phrase censée. Les souvenirs du temps d'avant affluent et la langue française se transforme peu à peu en bouée de sauvetage.