Quatrième de
couverture
La danse du figuier met en dialogue trois générations de femmes : Téta, la grand-mère, Fadwa, la mère et Emné, la fille. La poète écrit la tendresse des femmes qui l’ont précédée. Exercice de filiation entre femmes, où les poèmes recousent les liens brisés par la guerre, la mort et l’exil...