Paru le 19/01/2017 | Broché 155 pages
Adultes
Imaginez un jeune homme qu'on éjecte d'un pensionnat religieux parce qu'il s'y comporte fort mal. Ses parents, n'en voulant plus, le confient a son frère aine âgé de vingt ans de plus que lui, et chez qui il fait connaissance de sa belle-soeur... Laquelle aurait l'âge d'être sa mère. L'âge seulement, parce que sinon la funeste Armande, femme perverse jusqu'à la moelle, n'a vraiment rien de maternel. Ce serait plutôt le genre marâtre... et obsédée sexuelle.
« Tiens, tiens, se dit celle mégère, en voyant débarquer le novice. Un grand dadais, un puceau attardé ! Ma foi, pourquoi ne pas nous distraire avec lui ? »
Vous allez lire le récit de ces « distractions ». Et ne vous attendez surtout pas à rigoler !
Ayant écrit une centaine de « romans de gare » et « produit » dans son atelier près d'un millier, Esparbec est remarqué par Jean-Jacques Pauvert qui édite La Pharmacienne dans la collection qu'il dirige à La Musardine. En 1998, un récit autobiographique, Le Pornographe et ses Modèles, attire l'attention de la critique. Quant à La Pharmacienne, il devient en quelques mois un « livre culte ». D'autres romans vont suivre, ou sa verve « démoniaque » se donne libre cours : La Foire aux cochons, Les Mains baladeuses, Amour et Popotin, Le Goût du péché, Monsieur est servi, La Jument, Le Bâton et la Carotte, Frotti-Frotta, Le Fruit défendu, Les Biscuitières.