La Factory : grandeur et décadence de Factory records

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : X-562 pages
Poids : 686 g
Dimensions : 16cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35021-265-4
EAN : 9782350212654

La Factory

grandeur et décadence de Factory records

de

chez Naïve

Paru le | Broché X-562 pages

Tout public

35.50 Indisponible

préface de Jon Savage | traduit de l'anglais par Mickey Gaboriaud


Les libraires en parlent

Mr Nicolas Fargette (Librairie L'Atelier)

Pour beaucoup Manchester c’est un club de foot.

 

Alors que Manchester, ville industriel frappée de plein fouet par  une crise économique sans concession, fut le théâtre d’une  des scènes musicales les plus innovante des 80’s et comme tout bon épisode de l’histoire du Rock, pleine de personnages tous plus incroyables les uns que l’autres. Tout y est, joie, folie, fêtes, drame, tristesse, violence, chute vertigineuse … et surtout du génie !

Et tout ça autour d’un label , celui des Joy Division, New Order, Section 25, A certain ratio ou autres Happy Mondays !!  FACTORY RECORDS

Quatrième de couverture

«Un récit détaillé qui fait autorité, c'est la véritable histoire de Factory Records.» Peter Saville, graphiste et fondateur de Factory Records.

En 1978, une pancarte «Factory for Sale» (Usine à vendre) donna une idée de nom à Alan Erasmus et Tony Wilson pour leur nouveau projet de night-club à Manchester. Ce fait apparemment anodin est pourtant à l'origine de l'un des héritages musicaux et culturels les plus significatifs de la fin du XXe siècle. Les groupes électrisants qui se produisaient au club ne tardèrent pas à se retrouver sur vinyle et Factory finit par devenir le plus innovant et le plus acclamé des labels discographiques des trente ans suivants.

«Quelque chose d'extrêmement rare - vraiment intéressant et très agréable à lire. J'ai beaucoup appris.» Peter Hook, bassiste de Joy Division et New Order.

Ouvrant constamment de nouvelles voies, Factory présenta au public des groupes tels que Joy Division, Orchestral Manoeuvres in the Dark, A Certain Ratio, Section 25, Durutti Column et, plus tard, New Order, James et les Happy Mondays - cependant, les fondateurs du label avouent que leur ambition n'a jamais été la réussite commerciale mais la création d'un «laboratoire expérimental de culture populaire.»

«Cet ouvrage est certainement la meilleure analyse de l'entreprise chaotique et axée sur l'expérience que fut Factory Communications.» Stephen Morris, batteur de Joy Division et New Order.

Depuis, le label et sa folle excroissance, l'Haçienda, sont devenus aussi bien une légende qu'un conte moral. Et pourtant, jamais leur histoire authentique n'avait été relatée jusqu'à aujourd'hui. La Factory est le récit le plus complet, le plus fiable et le plus soigneusement documenté de la façon dont un groupe d'entrepreneurs anarchistes provinciaux a su déjouer les pièges des banquiers, des journalistes et de gangsters armés pour créer la musique la plus influente, la plus acclamée et la plus adorée des temps modernes.

«Peu de gens connaissent mieux l'histoire du label que lui... James Nice était la personne la mieux placée pour écrire l'histoire officielle de Factory Records.» Simon Reynolds, auteur de Rip It Up and Start Again: Postpunk 1978-1984.