Quatrième de
couverture
Dans l’espoir de se pardonner les abus commis par son mari, l’homme choisi, aimé et en qui elle croyait, Ginette Forest a cherché à connaître la chimie mentale de la femme qu’il faut être pour que «cela» arrive. Certains aspects. «Peur de déplaire, de blesser, de m’imposer, de décevoir. Je me devais d’être parfaite sur tous les plans.» Aurait-elle affronté son mari si ses enfants s’étaient confiés à elle? Non, sans doute, par peur de se tromper, peur de blesser, car elle aurait souhaité très fort au fond d’elle-même qu’ils ne lui en aient pas parlé. Elle aurait accepté leur silence comme une preuve que rien de mal ne se passait. Un silence qu’aujourd’hui elle dénonce dans un livre courageux et nécessaire.