Quatrième de
couverture
Personne n'a l'idée de se faire voler une contrebasse. Que perd-on à se faire voler sa contrebasse ? Que perd-on quand on vous vole une Pöllmann au vernis sombre, avec son dos galbé ? Quelle âme ? Quel sourire ? On m'a volé ma contrebasse dans la nuit du 10 juin 1995, sur un trottoir de Belleville. Ce qui est moins stupéfiant que ceci : on me l'a rendue, trois mois plus tard, le 9 septembre.