Quatrième de
couverture
Le temps me tire par le cou vers un bosquet de mots, les images perdues, une vision de veille, une forêt de sons. Les jours passent en quêteux. Les bêtes se relèvent dans l'orgueil du cri. La route autour du monde n'était qu'une chimère. La pluie dénoue ses doigts dans les sources taries. La seule ligne infinie est pointillée de mots. J'y cherche un peu d'espoir...