La mondialisation du capital

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 288 pages
Poids : 414 g
Dimensions : 23cm X 23cm
Date de parution :
EAN : 9782841463947

La mondialisation du capital

de

chez Syros

Collection(s) : Alternatives économiques

Paru le | Broché 288 pages

Tout public

21.34 Indisponible

Quatrième de couverture

Depuis sa première édition, en 1994, La Mondialisation du capital s'est imposé comme un livre de référence par l'ampleur de l'information présentée et la qualité de la synthèse réalisée. Cette nouvelle édition, entièrement remaniée et actualisée, permet en outre de prendre la mesure des bouleversements apportés depuis une dizaine d'années par la montée en puissance de la logique financière (fonds de pension, marchés financiers...) qui s'impose de plus en plus aux entreprises industrielles et aux Etats.

Cependant - qu'on ne s'y trompe pas -, ce pouvoir de la finance ne s'est pas forgé tout seul : sa force, tout comme celle du capital industriel et, a contrario, la faiblesse du mouvement ouvrier sont à la fois cause et conséquence des politiques libérales qui ont déréglementé les échanges internationaux de marchandises, de services et de capitaux, qui ont privatisé les services publics et qui s'attaquent à l'Etatprovidence depuis le début des années quatre-vingt.

C'est donc à une analyse complète - et détaillée - des circuits économiques de valorisation du capital (la finance, les firmes, les investissements, la recherche et les technologies, les échanges commerciaux, etc.) que nous invite l'auteur. La thèse est forte, et s'inscrit en faux contre ceux qui soutiennent que la mondialisation n'est qu'un avatar mineur dans l'évolution de l'économie de marché.

«On ne saurait illustrer de manière plus éclairante les mécanismes de fonctionnement du capitalisme contemporain.»

Le Monde diplomatique

«Voilà un livre de grande qualité, qui risque de faire mal.»

Le Moci.

Biographie

François Chesnais, spécialiste d'économie industrielle internationale et d'économie de l'innovation technologique, a longtemps été économiste à la direction de la Science, de la technologie et de l'industrie (DSTI) à l'Ocde, et membre du laboratoire de recherche Larea-Cerem à Paris-X Nanterre. Il enseigne aujourd'hui à l'université Paris-XIII Villetaneuse.