Collection(s) : Phileas Fogg
Paru le 13/03/2013 | Broché 175 pages
présentation d'Olivier Aubertin
C'est en Dandy égotiste que Maurice Barrès découvre Venise en 1892, c'est en poète qu'il la raconte plus tard dans La Mort de Venise (1903). Il y retrouve les pavés des Fondamenti et des Zattere, les palais patriciens et les reflets de l'Orient sur les canaux. Cette nouvelle île des morts est heureusement égayée par Véronèse et Tiepolo dont il nous conte les splendeurs. Dans Venise en dirigeable (1916), il nous décrit une Venise aérienne en tenue de guerre. Deux ballades édifiantes de ce prince des poètes qui écrira dans sa trilogie du « culte du Moi » : « C'est à Venise que j'ai décidé toute ma vie. »