La mort des Ceausescu : la vérité sur un coup d'Etat communiste

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 213 pages
Poids : 294 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84941-148-3
EAN : 9782849411483

La mort des Ceausescu

la vérité sur un coup d'Etat communiste

de

chez Les pérégrines

Collection(s) : Document

Paru le | Broché 213 pages

Tout public

21.00 Indisponible

avec avec la participation de Guy Hoedts


Quatrième de couverture

Novembre 1989, chute du mur de Berlin. Un mois plus tard, en Roumanie, Nicolae Ceausescu et sa femme sont renversés et exécutés à la suite d'un procès expéditif dont les images ont fait le tour du monde. De Bucarest déferlent des reportages où la joie contraste avec les visions de charniers, de morts, de blessés, de mères en deuil auprès des cercueils ouverts de leurs fils tombés sous les balles. Les informations sont ahurissantes et chaotiques, le scénario des événements bizarre et parfois incompréhensible. À l'époque, nombre de journalistes ont la sensation d'être manipulés. Depuis, les éléments du puzzle ont peu à peu été découverts et la vérité s'est imposée.

À partir de témoignages inédits, de récits, de mémoires, de documents tirés des enquêtes parlementaires et de la procurature militaire, C. Durandin et G. Hoedts nous donnent un récit précis, vivant, plein d'anecdotes et de révélations, de ces semaines de décembre où, sous l'apparence d'une révolution populaire, se cachait un coup d'État magistral dans lequel étaient impliqués les services de renseignement, du KGB à la CIA en passant par la Securitate roumaine. Nous comprenons enfin pourquoi et comment les médias du monde entier ont été manipulés.

Biographie

Catherine Durandin est agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur des universités, écrivain et romancière. Elle est l'auteur de nombreux ouvrages consacrés à la Roumanie et aux relations transatlantiques, dont un ouvrage de référence Histoire des Roumains chez Fayard en 1995, traduit en plusieurs langues.

Guy Hoedts est chercheur à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO).

Du même auteur : Catherine Durandin